Pendant trois rudes années de pandémie, nous nous sommes réinventés, reconstruits, adaptés, dépassés. Il faut espérer que cette situation ne se reproduira pas avant longtemps. Il demeure que l’Institut national de santé publique du Québec a prouvé à cette occasion qu’il était indispensable et qu’il remplissait avec toute la rigueur et l’exactitude attendues le rôle pour lequel il a été créé, il y a presque vingt-cinq ans. L’année qui s’achève ne fait pas exception. Vous lisez donc aujourd’…
