- Indications de dépistage (14)
- Modalités de dépistage : nominatif, non nominatif et anonyme (11)
-
Prélèvements et analyses (56)
- Prélèvements et analyses (56)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : généralités (9)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : sites extra-génitaux (10)
- Lymphogranulomatose vénérienne (5)
- Hépatites – causes d’immunosuppression (1)
- Hépatite B (4)
- Hépatite C (3)
- Infection par le VIH (4)
- Autotest du VIH (19)
- Renseignements à fournir au laboratoire (1)
- Fermer Retour
-
Traitement (19)
- Démarche pré et post-test et counseling (6)
- Rôle de l’infirmière (2)
- Charge virale et transmission sexuelle de l'infection par le VIH (9)
- Prescription infirmière (3)
- Maladies à déclaration obligatoire et signalement (9)
- Autres sujets (7)
Oui. Toutefois, un tel échec est difficile à documenter. Contrairement à l'infection gonococcique, la culture et les analyses de sensibilité aux antibiotiques ne sont pas disponibles dans un contexte clinique.
Plusieurs raisons autres qu’un échec au traitement peuvent expliquer un résultat positif à un TAAN effectué après le traitement de l’infection à Chlamydia trachomatis :
- une mauvaise observance du traitement;
- une réinfection par un nouveau partenaire ou un partenaire non traité;
- un test effectué trop tôt après le traitement (un résultat positif peut indiquer la présence de particules non viables jusqu’à trois semaines après le traitement d’une infection à C. trachomatis).